dimanche 21 juin 2009
mardi 16 juin 2009
A propos des liens
Il y en a un paquet et on s'y perd, me dit-on. J'ai essayé de les organiser comme suit :
- la première section de liens renvoie à des blogs ou sites de mes amis et connaissances, on l'aura compris.
- la deuxième section renvoie à des sites/blogs qui s'intéressent à des choses diverses. "Quarante-deux" et "Le Cafard cosmique" sont deux sites de référence pour les amateurs de science-fiction. "Images mouvantes" est un blog dédié au cinéma d'animation. "Doc 40" est le blog de Mick Farren, hurluberlu anglais, ex- leader du groupe The Deviants. "Du Pays de la peur" est celui de l'auteur de SF Roland C. Wagner. Quant aux deux autres... Le mieux est de se faire une idée par soi-même.
- la troisième section et la suivante sont consacrées à la BD, à l'illustration et au graphisme ("Pulphope", le blog du dessinateur Paul Pope est un must). J'en rajouterai petit à petit.
- la dernière section regroupe quelques blogs musicaux en tous genres, créés par des passionnés, proposant des choses introuvables et autres curiosités sonores. Rien de mieux pour faire des découvertes, à part peut-être écumer les vides-greniers à la recherche de vinyles poussiéreux.
J'espère que c'est un peu plus clair...
- la première section de liens renvoie à des blogs ou sites de mes amis et connaissances, on l'aura compris.
- la deuxième section renvoie à des sites/blogs qui s'intéressent à des choses diverses. "Quarante-deux" et "Le Cafard cosmique" sont deux sites de référence pour les amateurs de science-fiction. "Images mouvantes" est un blog dédié au cinéma d'animation. "Doc 40" est le blog de Mick Farren, hurluberlu anglais, ex- leader du groupe The Deviants. "Du Pays de la peur" est celui de l'auteur de SF Roland C. Wagner. Quant aux deux autres... Le mieux est de se faire une idée par soi-même.
- la troisième section et la suivante sont consacrées à la BD, à l'illustration et au graphisme ("Pulphope", le blog du dessinateur Paul Pope est un must). J'en rajouterai petit à petit.
- la dernière section regroupe quelques blogs musicaux en tous genres, créés par des passionnés, proposant des choses introuvables et autres curiosités sonores. Rien de mieux pour faire des découvertes, à part peut-être écumer les vides-greniers à la recherche de vinyles poussiéreux.
J'espère que c'est un peu plus clair...
dimanche 14 juin 2009
vendredi 12 juin 2009
Dessins plus ou moins automatiques
Quelques monstruosités qui hantent mes carnets...
C'est ça aussi, l'avantage du blog. Tous ces gribouillages plus ou moins machinaux qui traînent partout chez moi et dont le destin était jusqu'à présent pour le moins incertain auront désormais une chance d'apparaître ici.
Non, sérieusement, j'en mettrai quelques uns, mais seulement après un tri rigoureux et de longues délibérations avec moi-même.
Nino Ferrer (si, si, c'est lui!) - Freak
C'est ça aussi, l'avantage du blog. Tous ces gribouillages plus ou moins machinaux qui traînent partout chez moi et dont le destin était jusqu'à présent pour le moins incertain auront désormais une chance d'apparaître ici.
Non, sérieusement, j'en mettrai quelques uns, mais seulement après un tri rigoureux et de longues délibérations avec moi-même.
Nino Ferrer (si, si, c'est lui!) - Freak
dimanche 7 juin 2009
Fond de tiroir
vendredi 5 juin 2009
Chronique bédéphile : Pixy
Pixy est une bande dessinée de l'artiste suédois Max Andersson, originellement publiée en 1992. Longtemps épuisée, la version française (éditée en 1997 par l'Association) a été réimprimée il y a peu.
Le trait est sec, anguleux et coupant, les cadrages étranges, à la fois très composés et complètement distordus, avec des perspectives hallucinées et un sens de la géométrie très personnel. Le noir et le blanc sont en conflit perpétuel, comme si les éclats de lumière devaient taillader la masse compacte de l'obscurité pour surgir et être aussitôt déchiquetés par les aspérités tranchantes du décor.
La mise en page est pour le moins baroque, avec ses petites créatures organiques et filandreuses qui servent d'enluminures à des vignettes occasionnellement transformées en vitraux de cathédrale...
Pixy est une sorte d'équivalent, en bande dessinée, du Eraserhead de David Lynch, avec lequel il partage des références graphiques affirmées au cinéma expressionniste ainsi qu'un certain nombre d'obsessions macabres et surréalistes (dont la plus évidente: le héros Pixy est un fœtus avorté, qui rappelle le bébé monstrueux du film de Lynch).
La BD parle d'immeubles fusillés, de corps recyclables, d'un royaume des morts souterrain auquel on n'accède qu'avec un visa de l'ambassade et où le temps se déroule à l'envers, de monnaie vivante, de télévisions hantées et de fœtus alcooliques particulièrement frappadingues. Bref, on est assez loin Placid et Muzo, et il faut vraiment être amateur de bizarreries pour apprécier pleinement le travail incroyable d'Andersson.
Car ce qui saute aux yeux, malgré les références susmentionnées, c'est que Max Andersson est un auteur réellement singulier, profondément original, qui arrive à donner une structure graphique et narrative rigoureuse et extrêmement sophistiquée à un univers personnel qui semble déborder d'idées, d'images et d'obsessions. Le résultat est d'une cohérence implacable.
Ça n'a l'air de rien comme ça, mais au vu du matériau de base, ça relève du prodige.
Le site de Max Andersson est ici.
The angriest dog in the world
Le trait est sec, anguleux et coupant, les cadrages étranges, à la fois très composés et complètement distordus, avec des perspectives hallucinées et un sens de la géométrie très personnel. Le noir et le blanc sont en conflit perpétuel, comme si les éclats de lumière devaient taillader la masse compacte de l'obscurité pour surgir et être aussitôt déchiquetés par les aspérités tranchantes du décor.
La mise en page est pour le moins baroque, avec ses petites créatures organiques et filandreuses qui servent d'enluminures à des vignettes occasionnellement transformées en vitraux de cathédrale...
Pixy est une sorte d'équivalent, en bande dessinée, du Eraserhead de David Lynch, avec lequel il partage des références graphiques affirmées au cinéma expressionniste ainsi qu'un certain nombre d'obsessions macabres et surréalistes (dont la plus évidente: le héros Pixy est un fœtus avorté, qui rappelle le bébé monstrueux du film de Lynch).
La BD parle d'immeubles fusillés, de corps recyclables, d'un royaume des morts souterrain auquel on n'accède qu'avec un visa de l'ambassade et où le temps se déroule à l'envers, de monnaie vivante, de télévisions hantées et de fœtus alcooliques particulièrement frappadingues. Bref, on est assez loin Placid et Muzo, et il faut vraiment être amateur de bizarreries pour apprécier pleinement le travail incroyable d'Andersson.
Car ce qui saute aux yeux, malgré les références susmentionnées, c'est que Max Andersson est un auteur réellement singulier, profondément original, qui arrive à donner une structure graphique et narrative rigoureuse et extrêmement sophistiquée à un univers personnel qui semble déborder d'idées, d'images et d'obsessions. Le résultat est d'une cohérence implacable.
Ça n'a l'air de rien comme ça, mais au vu du matériau de base, ça relève du prodige.
Le site de Max Andersson est ici.
The angriest dog in the world
Quand David Lynch s'essaie à l'art du comic strip, ça donne cette étrange série, entamée en 1983, au concept génial ou fumeux (c'est selon... c'est souvent le cas avec Lynch, et c'est ça qui est drôle) : un même strip composé de quatre vignettes identiques (trois "de jour" et une "de nuit"), reproduit à l'infini. Seuls les dialogues, particulièrement absurdes, changent.
Graphiquement, pas de doute, ça ressemble à du Max Andersson avant la lettre.
Graphiquement, pas de doute, ça ressemble à du Max Andersson avant la lettre.
mercredi 3 juin 2009
La Garde Royale
lundi 1 juin 2009
"Il fait chaud" (Edouard Balladur)
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